


Cinq destins. Un seul choix.
___Tris vit dans un monde post- apocalyptique où la société est divisée en cinq factions. À 16 ans elle doit choisir sa nouvelle appartenance pour le reste de sa vie.
____Cas rarissime, son test d'apti- -tudes n'est pas concluant. Elle est divergente, elle est en danger de mort.
____Bon tout d'abord, non, ce n'est pas un coup de c½ur, désolée. Je crois que le manque de surnaturel me donne la sensation que les livres que je lis sont plus banals, en fait... Du coup, je n'ai pas trouvé ce livre extraordinaire même si j'ai passé un très bon moment à le dévorer.
____Beatrice est divergente, c'est-à-dire qu'elle n'est pas faite pour une seule faction qui correspond à une « qualité » de l'homme, et une seule : altruisme, sincérité, courage, fraternité et savoir. Elle doit faire un choix : rester avec ses parents et rester altruiste ou bien tenter tout autre chose. C'est sur ça que nous commençons le roman. C'est clair, c'est une dystopie, qui irait penser qu'atteindre l'utopie serait de diviser les gens en leur disant qu'ils ne doivent se conformer qu'à une seule caractéristique du genre humain ? D'ailleurs, certaines factions ne sont pas très amies entre elles, comme celle des érudits et des altruistes...
____Tris fait un choix tout à fait inattendu : les Audacieux (on nous le dit dans l'extrait du roman, je ne compte pas ça comme un spoiler), et va devoir commencer un entraînement rude qui va bien lui en apprendre sur elle-même. On se retrouve vraiment avec elle dans ce monde, on trouve que les gens de la faction où elle a choisi d'aller aussi étranges qu'elle. On souffre avec elle, pour elle, et pour les autres quand elle a mal pour eux. On ne l'épargne pas, notre Tris, ni personne d'ailleurs...
____Mais, bien sûr, on a des personnages auxquels s'attacher, l'amitié est importante, et on découvre qu'être ami avec quelqu'un signifie aussi être fort, avoir du courage, celui de ne pas céder à la pression des autres, par exemple. Veronica Roth nous redonne tout la signification du mot courage, toutes ses applications. Tris va apprendre qu'il faut avoir du courage pour oser embrasser le garçon qui lui plait. Et quel personnage ! Il n'est pas parfait (ouf) mais il a cette façon de chercher le courage présent dans Tris, de l'encourager sans le faire paraître qui est très bien décrite. C'est un personnage atypique, une des clefs de l'histoire. Il a ses petits mystères à lui qui font qu'on ne le prend pas pour acquis, et en même temps, ce n'est pas le personnage super mystérieux qui va laisser l'héroïne au bord de la pamoison, il est réel.
____En bref, c'était un très bon roman, intéressant, plein d'action, avec une histoire d'amour touchante et réaliste (et ce n'est pas sur ça que le surnaturel m'a manqué du coup !).
____Cas rarissime, son test d'apti- -tudes n'est pas concluant. Elle est divergente, elle est en danger de mort.
____Bon tout d'abord, non, ce n'est pas un coup de c½ur, désolée. Je crois que le manque de surnaturel me donne la sensation que les livres que je lis sont plus banals, en fait... Du coup, je n'ai pas trouvé ce livre extraordinaire même si j'ai passé un très bon moment à le dévorer.
____Beatrice est divergente, c'est-à-dire qu'elle n'est pas faite pour une seule faction qui correspond à une « qualité » de l'homme, et une seule : altruisme, sincérité, courage, fraternité et savoir. Elle doit faire un choix : rester avec ses parents et rester altruiste ou bien tenter tout autre chose. C'est sur ça que nous commençons le roman. C'est clair, c'est une dystopie, qui irait penser qu'atteindre l'utopie serait de diviser les gens en leur disant qu'ils ne doivent se conformer qu'à une seule caractéristique du genre humain ? D'ailleurs, certaines factions ne sont pas très amies entre elles, comme celle des érudits et des altruistes...
____Tris fait un choix tout à fait inattendu : les Audacieux (on nous le dit dans l'extrait du roman, je ne compte pas ça comme un spoiler), et va devoir commencer un entraînement rude qui va bien lui en apprendre sur elle-même. On se retrouve vraiment avec elle dans ce monde, on trouve que les gens de la faction où elle a choisi d'aller aussi étranges qu'elle. On souffre avec elle, pour elle, et pour les autres quand elle a mal pour eux. On ne l'épargne pas, notre Tris, ni personne d'ailleurs...
____Mais, bien sûr, on a des personnages auxquels s'attacher, l'amitié est importante, et on découvre qu'être ami avec quelqu'un signifie aussi être fort, avoir du courage, celui de ne pas céder à la pression des autres, par exemple. Veronica Roth nous redonne tout la signification du mot courage, toutes ses applications. Tris va apprendre qu'il faut avoir du courage pour oser embrasser le garçon qui lui plait. Et quel personnage ! Il n'est pas parfait (ouf) mais il a cette façon de chercher le courage présent dans Tris, de l'encourager sans le faire paraître qui est très bien décrite. C'est un personnage atypique, une des clefs de l'histoire. Il a ses petits mystères à lui qui font qu'on ne le prend pas pour acquis, et en même temps, ce n'est pas le personnage super mystérieux qui va laisser l'héroïne au bord de la pamoison, il est réel.
____En bref, c'était un très bon roman, intéressant, plein d'action, avec une histoire d'amour touchante et réaliste (et ce n'est pas sur ça que le surnaturel m'a manqué du coup !).
Merci Emilie de m'avoir prêté ce livre !
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