
Lecture en anglais, pas de VF à ma connaissance


Spoilers sur le tome 1 !


Spoilers sur le tome 1 !
___Tout ce qu'Aoife pensait savoir sur le monde n'était qu'un mensonge. Il n'y a pas de Necrovirus. Et elle ne va pas succomber à la folie à cause d'une affection latente – elle va perdre ses facultés mentales car elle est allergique au fer. Aoife n'est pas humaine. C'est un changelin, elle est à moitié humaine, à moitié du land of Thorn. Et le temps lui fait défaut.
___Quand Aoife a détruit le Lovecraft engine, elle a envoyé les monstres du land of Thorn dans les Iron Lands en les libérant. Il faut maintenant qu'elle trouve un moyen de refermer les portes pour faire cesser les destructions qu'elle a infligées à ce monde qui l'empoisonnait.
___Quand Aoife a détruit le Lovecraft engine, elle a envoyé les monstres du land of Thorn dans les Iron Lands en les libérant. Il faut maintenant qu'elle trouve un moyen de refermer les portes pour faire cesser les destructions qu'elle a infligées à ce monde qui l'empoisonnait.
(trad perso)

___The Nightmare Garden est le genre de roman qui vous donne envie de relire le tome précédent, mais aussi de vraiment s’intéresser à l’œuvre de Lovecraft. D’accord, je savais qu’il y avait des références dans le tome 1 (les créatures, le nom de la ville par ex), mais voilà, je m’y connais très mal. Sauf que les Great Old Ones, avec leurs tentacules, j’ai tout de suite pensé à Cthuluh, qui est un Grand Ancien ou, in English, un Great Old One. J’avais mis le doigt dans le mille ! (pas peu fière lol) Et vous savez, quand on arrive à ce point du livre, j’ai franchement trouvé que c’était énorme. Quand Aoife se rapproche du moment de trouver la Nightmare Clock et quand elle l’a trouvée, c’est juste… wow, ce lieu, tout ce que ça veut dire… sans même parler du fait que ça m’a rappelé À la croisée des mondes… (le grand nord, le mysticisme, la religion…)
___J’avais oublié qu’Aoife était aussi… impertinente, aussi déchaînée, ça change vraiment de ce que j’ai l’habitude de lire, et c’est loin d’être déplaisant. Aoife ne cherche vraiment pas à être la jeune fille comme il faut, et voir son frère jouer aux fils parfait, l’insupporte. Ajoutez à ça le retour de son père qu’elle connaît à peine, accompagné de sa petite amie, et ça n’aide en rien. Elle est la fille de son père, sans l’être, elle n’est pas une jeune fille bien sous tous les rapports (elle est trop bizarre pour ça, pour commencer !), c’est bien la dernière chose qui l’intéresse. Non, elle veut réparer ses erreurs, elle veut pouvoir compter sur quelqu’un, et tant pis si cette personne c’est Dean, et que tout le monde désapprouve ! (ça m’amusait bien quand Conrad faisait ses petites interventions à ce sujet, moins quand on arrive à Valentina et Archie.) Aoife est vraiment confrontée à des tas de choses, métaphysiques comme plus basiques, on lui en fait voir de toutes les couleurs – et la fin… j’étais en larmes, comment est-ce qu’on a pu faire ça ?
___Dans ce tome, on visite les Mists, terre des E…kin (j’ai un trou de mémoire, les faes disent que ce sont des goblins), on dit un bonjour à la maman de Dean (enfin, faut pas voir d’amicalité), on continue d’être confrontés à Draven – et Aoife ne fait pas dans la fausse gentillesse à son propos, si elle peut s’en débarrasser, elle le fait – on retourne à Lovecraft, en passant par Thorn, la terre des faes (of course, et on fait une sacrée découverte, hum, le surnom que lui donne Dean, ça a un rapport ?), on passe par un sous-marin (dites-moi qu'on va vraiment en apprendre sur la Crimson Guard), une sorte de palais de glace, sans parler de cet endroit qui n’est accessible que par rêves… J’adore.
___Ce livre a quelque chose de vraiment impressionnant même si j’ai trouvé que le début manque un peu de force : il se passe des choses, mais comparé aux renversements de la suite, on sent moins l’intérêt, ce qui pousse les personnages à agir, Aoife est un peu trop obnubilée par l’idée de sauver sa mère et j’ai trouvé l’écriture un peu lourde par moments, en particulier sur le début, probablement parce qu’il fallait que je m’y réhabitue.
___J’avais oublié qu’Aoife était aussi… impertinente, aussi déchaînée, ça change vraiment de ce que j’ai l’habitude de lire, et c’est loin d’être déplaisant. Aoife ne cherche vraiment pas à être la jeune fille comme il faut, et voir son frère jouer aux fils parfait, l’insupporte. Ajoutez à ça le retour de son père qu’elle connaît à peine, accompagné de sa petite amie, et ça n’aide en rien. Elle est la fille de son père, sans l’être, elle n’est pas une jeune fille bien sous tous les rapports (elle est trop bizarre pour ça, pour commencer !), c’est bien la dernière chose qui l’intéresse. Non, elle veut réparer ses erreurs, elle veut pouvoir compter sur quelqu’un, et tant pis si cette personne c’est Dean, et que tout le monde désapprouve ! (ça m’amusait bien quand Conrad faisait ses petites interventions à ce sujet, moins quand on arrive à Valentina et Archie.) Aoife est vraiment confrontée à des tas de choses, métaphysiques comme plus basiques, on lui en fait voir de toutes les couleurs – et la fin… j’étais en larmes, comment est-ce qu’on a pu faire ça ?
___Dans ce tome, on visite les Mists, terre des E…kin (j’ai un trou de mémoire, les faes disent que ce sont des goblins), on dit un bonjour à la maman de Dean (enfin, faut pas voir d’amicalité), on continue d’être confrontés à Draven – et Aoife ne fait pas dans la fausse gentillesse à son propos, si elle peut s’en débarrasser, elle le fait – on retourne à Lovecraft, en passant par Thorn, la terre des faes (of course, et on fait une sacrée découverte, hum, le surnom que lui donne Dean, ça a un rapport ?), on passe par un sous-marin (dites-moi qu'on va vraiment en apprendre sur la Crimson Guard), une sorte de palais de glace, sans parler de cet endroit qui n’est accessible que par rêves… J’adore.
___Ce livre a quelque chose de vraiment impressionnant même si j’ai trouvé que le début manque un peu de force : il se passe des choses, mais comparé aux renversements de la suite, on sent moins l’intérêt, ce qui pousse les personnages à agir, Aoife est un peu trop obnubilée par l’idée de sauver sa mère et j’ai trouvé l’écriture un peu lourde par moments, en particulier sur le début, probablement parce qu’il fallait que je m’y réhabitue.
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