
____Dans Baby Be-Bop, nous avons affaire à Dirk MacDonald, le meilleur ami de Weetzie. C'est amusant, je ne sais jamais situer l'âge des personnages dans ces novellas, je les trouve remplis de cette innocence enfantine et en même temps ils doivent faire face au monde, et cela leur donne une certaine maturité...
____Bon, donc disons que c'est au moment de l'adoles- cence de Dirk, qui vit à Los Angeles comme tous les personnages de la série, et qui est gay mais qui a du mal à s'y faire. C'est étrangement mis en parallèle avec l'holocauste : le train dans la chambre de Dirk, le swastika sur la boucle d'oreille de la jeune punk sur lequel Dirk ne peut s'empêcher de faire un commentaire, et finalement la mise en abîme par le génie de la lampe à qui la grand-mère, le père de Dirk et Dirk lui-même ont raconté leur histoire car toutes les histoires doivent être racontées, ça libère, ça aide, les survivants de l'holocauste comme tous les autres :
____« Stories are like genies, Dirk thought. They can carry us into and through our sorrows. Sometimes they burn, sometimes they dance, sometimes they weep, sometimes they sing. Like genies, everyone has one. Like genies, sometimes we forget that we do.
____Our stories can set us free, Dirk thought. When we set them free. »

____C'est touchant, magique, loufoque, euphorique, bouleversant, mélodieux, c'est du Francesca Lia Block, ça touche tous les sens.
____Une dernière citation qui m'a semblé intéressante :
____« And why did he have to tell? Boys who loved girls didn't have to sit their mothers down and say, “Mom, I love girls. I want to sleep with them.” It would be too embarrassing. Just because what he felt was different, did it have to be discussed? »
____Bon, donc disons que c'est au moment de l'adoles- cence de Dirk, qui vit à Los Angeles comme tous les personnages de la série, et qui est gay mais qui a du mal à s'y faire. C'est étrangement mis en parallèle avec l'holocauste : le train dans la chambre de Dirk, le swastika sur la boucle d'oreille de la jeune punk sur lequel Dirk ne peut s'empêcher de faire un commentaire, et finalement la mise en abîme par le génie de la lampe à qui la grand-mère, le père de Dirk et Dirk lui-même ont raconté leur histoire car toutes les histoires doivent être racontées, ça libère, ça aide, les survivants de l'holocauste comme tous les autres :
____« Stories are like genies, Dirk thought. They can carry us into and through our sorrows. Sometimes they burn, sometimes they dance, sometimes they weep, sometimes they sing. Like genies, everyone has one. Like genies, sometimes we forget that we do.
____Our stories can set us free, Dirk thought. When we set them free. »


____Une dernière citation qui m'a semblé intéressante :
____« And why did he have to tell? Boys who loved girls didn't have to sit their mothers down and say, “Mom, I love girls. I want to sleep with them.” It would be too embarrassing. Just because what he felt was different, did it have to be discussed? »
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